Dans une interview au Parisien-Aujourd’hui en France, le président de la Cnaf défend le principe d’universalité des prestations familiales. » Riche ou aisé, un enfant coûte. En outre, les plus aisés sont aussi des gens qui contribuent beaucoup : plus leur salaire est élevé, plus ils versent de cotisations sociales. Ils ne seraient donc bons qu’à payer si on les privait de ce système de redistribution « , souligne-t-il.
Revenant sur la modulation survenue durant le quinquennat précédent, Jean-Louis Deroussen estime que « vouloir aller plus loin relève plus de l’affichage politique « .