dans SÉCURITÉ SOCIALE

Au quatrième trimestre 2020, la masse salariale soumise à cotisations sociales du secteur privé repart légèrement à la baisse (- 0,8 %), après le rebond de 18,3% du troisième trimestre, lui-même consécutif à la chute de 15,6 % enregistrée au deuxième trimestre.

Sur un an, elle se replie de 3,8 %. Ces évolutions «s’expliquent notamment par la progression de l’activité partielle, dont l’indemnisation n’est pas soumise à cotisations sociales», souligne l’Urssaf caisse nationale.
En janvier dernier, la masse salariale soumise à cotisations sociales du secteur privé recule de 1,4 % par rapport à celle enregistrée en janvier 2020 (après – 3,7 % en décembre). La part de l’assiette chômage partiel s’établit à 2,8 % en janvier 2021, après 3 % en décembre. Son niveau reste sensiblement plus élevé par rapport  à celui d’avant la crise sanitaire (moins de 0,2 % en général).
En février, la crise économique et les reports des cotisations impactent encore fortement les taux d’impayés. «Après le rebond observé en novembre, la situation des restes à recouvrer s’améliore pour le troisième mois consécutif», relève toutefois l’Urssaf. Le taux hors taxations d’office mesuré en fin de mois s’établit à 3,19 % après 3,59 % le mois précédent. Celui à échéance + 30 jours est de 3,58 % après 6,03 %.
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